Les noms qui revenaient régulièrement, étaient bien de chez nous. En d’autres termes, chez la Seter, société exploitant du TER, c’est la compétence locale qui commande. Ils sont jeunes et fiers. Des ingénieurs surqualifiés ou à peine diplômés. Ils sont conducteurs, agents de maintenance, hôtesse d’accueil, la liste est longue. Si à l’image d’Amina Mansour Séne, la première femme conductrice de TER au Sénégal, beaucoup de jeunes qui travaillent au TER sont formés dans les écoles du pays, d’autres recrues ont étudié à l’étranger. TER – Et ils sont nombreux à avoir quitté leur pays d’accueil, essentiellement le Canada, la France ou le Maroc, pour répondre à l’appel du pays, selon le responsable des ressources humaines de la Seter. Il faut noter que 40% du personnel de l’entreprise exploitant le Ter est composé de femmes. On est loin des 25% habituels. Pour rappel, près de 1000 Sénégalais travaillent à la Seter. Maderpost / Leral.net]]>
à la une
- Mouvement d’humeur à AIBD, les agents de la TSA ont rencontré Guy Marius Sagna
- Organisations JOJ Dakar 2026, les engagements forts des communes
- Accident à Koungheul, 9 morts, plus de 50 blessés enregistrés
- Côte d’Ivoire, Ouattara candidat du RHDP à la présidentielle de 2025
- Charles Faye : « Les Sénégalais doivent reprendre les ICS »
- L’Afrique comptera 65 % de millionnaires en plus au cours de la prochaine décennie
- Nigeria, plus de 100 détenus s’évadent d’une prison
- Rapport Ofnac 2022, l’Assemblée nationale épinglée